5/13/2012

Poésie quand tu nous tiens

Après une bonne demi-heure, immobile, cahier ouvert sur mes jambes croisées, stylo à la main et regard éperdument perdu au fond du jardin ; je conclus que ce soir, finalement, je n'ai pas grand chose à foutre des mouches qui voltigent dans les derniers rayons.

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