Nous sommes riches de l'inachevé. Nous sommes riches du vide. Nous sommes riches de l'absence.
« Un koan bouddhique dit ceci : « Le maître tient la tête du disciple sous l’eau, longtemps, longtemps ; peu à peu les bulles se raréfient ; au dernier moment, le maître sort le disciple, le ranime : quand tu auras désiré la vérité comme tu as désiré l’air, alors tu sauras ce qu’elle est. » L’absence de l’autre me tient la tête sous l’eau ; peu à peu, j’étouffe, mon air se raréfie : c’est par cette asphyxie que je reconstitue ma « vérité » et que je prépare l’Intraitable de l’amour. »
Fabien BARTHEZ. Ah non ! Désolé, lui c'est le gardien de but, je voulais écrire Roland BARTHES,qui serait plutôt le gardien du but ; l'intraitable de l'amour.On trouve ça dans fragment d'un discours amoureux. Roland BARTHES,ça déchire sa race ! Cherchez pas de jeux de mots, contrepèteries et consœurs, il n'y en pas si j'avais voulu faire un jeu de mots, j'aurais écris ; Roland, tu m'as conquis, je t'adore mais celui là est éculé et j'ai pas envie de passer pour un éculé de ma race.
3 commentaires:
Nous sommes riches du nuage qu'il reste à effacer, du mot que nous n'avons pas encore trouvé.
Nous sommes riches du manque.
Nous sommes riches de l'inachevé.
Nous sommes riches du vide.
Nous sommes riches de l'absence.
« Un koan bouddhique dit ceci : « Le maître tient la tête du disciple sous l’eau, longtemps, longtemps ; peu à peu les bulles se raréfient ; au dernier moment, le maître sort le disciple, le ranime : quand tu auras désiré la vérité comme tu as désiré l’air, alors tu sauras ce qu’elle est. » L’absence de l’autre me tient la tête sous l’eau ; peu à peu, j’étouffe, mon air se raréfie : c’est par cette asphyxie que je reconstitue ma « vérité » et que je prépare l’Intraitable de l’amour. »
Fabien BARTHEZ. Ah non ! Désolé, lui c'est le gardien de but, je voulais écrire Roland BARTHES,qui serait plutôt le gardien du but ; l'intraitable de l'amour.On trouve ça dans fragment d'un discours amoureux. Roland BARTHES,ça déchire sa race ! Cherchez pas de jeux de mots, contrepèteries et consœurs, il n'y en pas si j'avais voulu faire un jeu de mots, j'aurais écris ; Roland, tu m'as conquis, je t'adore mais celui là est éculé et j'ai pas envie de passer pour un éculé de ma race.
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