Le minuscule, l’immense presque-rien ne doit pas être traité comme le charbon ou le pétrole dont les réserves s’épuisent peu à peu sans que nulle providence les reconstitue au fur et à mesure, mais plutôt comme l’infatigable recommencement de chaque printemps, de chaque aurore, de chaque floraison ; aucune dégradation d’énergie n’est ici à craindre
Toujours Vladimir Jankélévich, le passage qui précède exactement celui que j'ai mis en commentaire dans ta poésie précédente qui se termine par "T'es beau comme un matin qui ne veut pas se lever."
2 commentaires:
Tu consomme de l'infini
Le minuscule, l’immense presque-rien ne doit pas être traité comme le charbon ou le pétrole dont les réserves s’épuisent peu à peu sans que nulle providence les reconstitue au fur et à mesure, mais plutôt comme l’infatigable recommencement de chaque printemps, de chaque aurore, de chaque floraison ; aucune dégradation d’énergie n’est ici à craindre
Toujours Vladimir Jankélévich, le passage qui précède exactement celui que j'ai mis en commentaire dans ta poésie précédente qui se termine par "T'es beau comme un matin qui ne veut pas se lever."
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