7/14/2015

ça laisse comme des traces d'un chemin qui n'existe pas


De petits volatiles
insignifiants et gris
creusent à l'ombre du figuier
des bassins de sable et de poussière
dans lesquels ils nettoient leur ailes
avec nos vies
de sable et de poussière

1 commentaire:

amichel a dit…

le pire n'est jamais sur ...pensait icare !