2/03/2010

à la place d'un violon

Ce matin, le poème a la flemme. Il pointe son nez, regarde le gel, la course folle des petites querelles, les aiguilles qui tournent pas rond. Et puis merdre, lâche t-il en se grattant, C'est une contrebasse qu'il me faudrait à la place d'un violon !

( à P.A.G)

1 commentaire:

Éric a dit…

Pour que le poète pisse dans sa contrebasse ?