Dans un très beau poème que Christian Garcin écrit à propos de la mort de son père, il évoque au détour d'une image "la gravité dubitative et pointu d'un bébé". Je voudrais atteindre ce regard, les flèches acérées, éperdues et perdues, de ces deux billes noires. Pour écrire il faudra s'efforcer de regarder avec "la gravité dubitative et pointue d'un bébé".
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