9/20/2011

Varap

Une fois assis, il considéra qu'il avait fait le plus gros pour être debout. Il enfila sur sa tête une bonne paire de chaussettes et entama l'escalade vertigineuse de sa descente.

7 commentaires:

Cédric a dit…

Non sans s'être bouché les silences.

Maison d'edition a dit…

Le problème, avec les cimes (l'accent de cime est tombé dans l'abîme.. Mnémotechnique...) Le problème avec le "hauteurs", c'est qu'après, il ne reste qu'à descendre si on continue d'avoir la bougeotte....

PP

Veronica B a dit…

Ah c'est chouette !

auPARAVant, la montée chaussée, et par après, l'art des sentes ...

bui a dit…

C'est pas terrible, hein ... Quand on se force ça se voit, quoi.

A contrario,

J'aime beaucoup, très très beaucoup, l'extrait de " blanc" ci-dessous :))
Magnifique, vraiment, très costaud.

thoams a dit…

Cher bui, vous pouvez bien entendu trouver un texte moins terrible qu'un autre, mais n'en concluez pas que je l'ai "forcé". Je ne force jamais. Sauf quand je fais caca.

bui bui a dit…

Cher thoams : je vous accorde ce point, avec plaisir. Donc, one point comme on dit à Roland Garros :))

Cédric a dit…

A thoams > Sauf que "faire caca" c'est ce qu'il a de plus important dans la vie !