Sur la terrasse
du café de la grande place
j'assiste au ballet merdeux
des gens qui courent
et des pigeons qui s'envolent
pendant que le vent
gifle les marronniers
Je reste assis là
sur la terrasse
du café de la grande place
jusqu'à ne plus pouvoir distinguer
qui sont les gens
et qui sont les pigeons
1 commentaire:
Thoams, j'admire votre stoïcisme. La dernière fois que j'ai assisté à pareil ballet, j'ai failli m'évanouir. Mais, heureusement, une averse bienfaitrice a égayé le tableau.
ps: pardon pour le doublon malhabile !
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