Si tu vas en Pologne et que l'on t'invite à lire, mange un bout avant.
J'ai rencontré, il y a une dizaine d'années, le traducteur polonais de Sollers.
Il venait souvent me voir pour me demander de lui expliquer des expressions françaises.
Un soir, comme d'autres, il passe me voir et m'invite à passer lire un peu.
Je le rejoins, m'attable à son ordi et l'attend.
Il revient avec une bouteille d'Herbe de bison, alcoolisée comme on le sait, mais rien avoir avec la version édulcorée que l'on trouve au supermarché du coin...
À ma tête... Il me dit : "Quand on invite à lire chez nous c'est pour boire." ... Et pas qu'un peu. "On boit la bouteille. Après, on travaille !"
4 commentaires:
J'y étais ! et... là-bas, ça va aussi !
"On ne sort pas
du trou
parce qu'on ne sort pas de soi
On y pousse
on y grandit
jusqu'à la lumière"
C'était bien. C'était doux. Merci Alain et compagnie !
J'y étais
L'auteur est blanc
Le vin aussi
Ils auraient été noirs
Ils auraient été rouges
J'aurais apprécié aussi
Beaucoup
Salut Thoams,
Ça me rappelle une anecdote.
Si tu vas en Pologne et que l'on t'invite à lire, mange un bout avant.
J'ai rencontré, il y a une dizaine d'années, le traducteur polonais de Sollers.
Il venait souvent me voir pour me demander de lui expliquer des expressions françaises.
Un soir, comme d'autres, il passe me voir et m'invite à passer lire un peu.
Je le rejoins, m'attable à son ordi et l'attend.
Il revient avec une bouteille d'Herbe de bison, alcoolisée comme on le sait, mais rien avoir avec la version édulcorée que l'on trouve au supermarché du coin...
À ma tête... Il me dit : "Quand on invite à lire chez nous c'est pour boire."
... Et pas qu'un peu. "On boit la bouteille. Après, on travaille !"
Ce fut ma séance de travail la plus... vaporeuse.
Antoine
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