Honneur, joie, peine et amour mêlées.
L'honneur de vous voir à l'aise dans mes mots
comme dans une vieille paire de grolles
La peine de ceux qui savent qui gagne à la fin.
La joie de ceux pour qui ça n'est pas le plus important
Tant qu'il reste des câlins, des poèmes,
des rires et des doigts d'honneur.
Tant que la langue nous tient debout malgré tout.
Tant qu'elle nous brûle et nous console.
Oui je crois à la poésie.
Jean-Claude Pirotte je vous serre dans mes bras
je vous ressers un verre et rallume votre mégot
C'est avec son amour que le faible se moque du fort
Aimer c'est tenir tête
aux vents qui nous disloquent.
Tendrement
T.
1 commentaire:
Chronique de Jean-Claude Pirotte d'Avril 2014 extraite du magazine Lire.
aparté
Au cas où ça intéresse quelqu'un de pouvoir lire plus confortablement ce texte d'une très grande richesse, je l'ai recopié comme un élève appliqué que je n'ai jamais été. À en croire beaucoup de temoignages d'amateurs de poésies, je n'etais pas le seul au fond de la classe à regarder les gouttes de pluie dégouliner sur les carreaux pendant les leçons de mathématique et à vibrer sur "Demain, dès l'aube...". J'espère en tous cas ne pas avoir laissé de fautes, j'ai des doutes car j'en ai retrouvé après plusieurs relectures. C'était sympa comme travail. Ce texte, vu sa date de rédaction et son contenu a tout l'air d'un testament spirituel.Il semble même passer la main, d'ailleurs Thomas me permets-tu de publier le texte que tu y as adjoint sur un blog que je squatte (avec l'accord de son propriétaire !) ?
Vincent
Bonne soirée
Ah oui, voici le lien vers le texte recopié. Il a trop de caractères pour être publier ici.
http://schabrieres.wordpress.com/2014/01/07/jean-claude-pirotte-poeme-2012-2/#comment-2673
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