2/12/2015

La moitié du Fourbi

"[...] où l’on se souvient de Pag, caresse l’art de l’ennui, s’interroge sur la jeune science qui étudie ce que personne ne lit ; où l’on poursuit dans la jungle Werner Herzog et ses petits écrits, où l’on retrouve Hélène Gaudy sur une plage d’Australie, Gilles Ortlieb dans les Petites-Rues de Paris ; où l’on cherche Walser dans la neige, Michaux dans une orange, Orlev dans son cœur d’enfant, Vinau dans ses minusculeries ; où l’on voyage chez Jengi et Ezengui, dans la vie illisible d’un petit homme gris ; où l’on croise des tombes rabotées, des poussins, des tridents ; où l’on textote un 11 septembre 2001 ; où Samuel Gallet s’époumone contre une certaine asphyxie [...]"


Je me régale à chaque page. Une aussi bonne revue c'est rare. Fier d'en être je suis !

Aucun commentaire: