7/13/2016

76 Clochards célestes ou presque - La presse en parle (comme on dit)


« Ces textes d’hommage mêlent poésie du quotidien, souffle lyrique et humour. Un livre qui donne envie d’en savoir toujours plus sur ces artistes au destin souvent tragique. »
Le Figaro

« Nous venons de lire un superbe bouquin ; 76 clochards célestes ou presque de Thomas Vinau (Le Castor Astral). Magnifiques mini-portraits d’écrivains, poètes, musiciens, artistes qui auraient tous pu finir leurs jours dans un conteneur d’une autre rue Bruyas. Sous “le ricanement du monde“. Blaise Cendrars, Elisabeth Cotten, Jean-Paul Clébert, Charles Bukowski, Billie Holiday. Et même Michel Simon (le Boudu sauvé des eaux), pas très loin d’un certain… Diogène. À lire. »
Midi-Libre

« “Militant du minuscule“, le poète et écrivain Thomas Vinau rassemble dans 76 clochards célestes ou presque, une galerie de brefs portraits d’artistes qui lui ont troué le cœur. Des “blessés fidèles à leurs blessures“. Des “inconsolés qui consolent“. Des “vents-debouts dans la défaite“. Des gratte-papiers, mais aussi des sort-les-pinceaux et des pousse-la-chansonnette. Des très connus (Bukowski, Chet Baket, Jack London, Billie Holiday), des super-Nova (Gil-Scott Heron, Moondog, Alain Peters, Lee Scratch Perry), mais aussi et surtout des qui restent encore, pour la plupart d’entre vous, à rencontrer. »
Radio Nova

« Thomas Vinau, vous êtes certainement le seul auteur des éditions 10-18 sachant versifier et se servir d’une débroussailleuse. Mille mercis pour votre essai libérateur avec ces portraits d’écrivains en marge qui dégainent aussi bien la plume que le tire-bouchon, ne finissent jamais à l’Académie et n’obtiennent le Nobel que par accident. En généreux campagnol du Lubéron, vous nous laissez grande ouverte la porte de votre terrier de curiosités. Grâce à vous, nous prenons la clé des champs pour de formidables vagabondages en compagnie de John Muir, Diogène ou Blaise Cendrars. »

Le choix des libraires : Laurent Lebourg de la librairie CAJELICE à PERPIGNAN

« C’est un petit recueil délectable, qui pousse au vice : il donne envie de lire et de relire tous ces auteurs. Les connus, qu’on chérit dans un coin de son cœur (Norge, Cossery, Cendrars, Bukowski…) Et ces autres, inconnus, présentés de manière si oblique, si décalée. Thomas Vinau y va d’un clavier délicat pour dresser ces portraits d’écrivains en demi-teintes. Parfois en vers, souvent en prose, toujours avec style. Ils ont un pied, voire les deux, en dehors du droit chemin. Pour la plupart, sans doute, ils ne sont pas faciles à fréquenter dans la réalité. Mais par écrit, quel régal ! »
Ouest France

« Thomas Vinau, lui, vient de publier « 76 clochards célestes ou presque ». Il a piqué le titre à Kerouac, mais on ne lui en veut pas, tant ses portraits sont drôles, lyriques et toujours poétiques. Artistes et maudits, mal sapés, adulés, adorés, « fous », « toxicos », et « punks », parfois alcooliques et souvent désabusés, souvent drôles et parfois beaux, tels sont les clochards de Vinau. Bien sûr, il en manque, Baudelaire, Rimbaud ou Morrison n’y sont pas. Le poète a choisi ceux qu’il admire et qui l’inspire. Et voici qu’en deux ou trois mots seulement et quelques rimes bien choisies, Thomas Vinau nous offre un dernier verre en compagnie de ces abîmés magnifiques. » l'article en entier là
L’Obs

2 commentaires:

S. a dit…

Elle sent un peu le Trivial Pursuit le critique du Figaro.

thoams a dit…

voir, le gâteau chinois ;-)